Un peu d'humour...

Nicolas et son entreprise d’achat-revente : quand la com’ tourne à la brocante

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Nicolas avait un rêve : devenir le roi de l’achat-revente, un Elon Musk du meuble vintage et des gadgets électroniques. Mais entre des flyers douteux, des vidéos TikTok mal montées et un site web qui ressemble à une page MySpace, son rêve entrepreneurial s’est transformé en cauchemar comique. Retour sur une communication à ranger au grenier.

L’histoire d’un entrepreneur et de sa com’ qui prend l’eau

Nicolas, passionné de bonnes affaires, décide de lancer sa propre entreprise d’achat-revente. « Tout le monde le fait, alors pourquoi pas moi ? », pense-t-il. Mais avec zéro stratégie et un budget communication proche de zéro, il s’embarque dans une aventure pleine de gags et de leçons à retenir.

Erreur n°1 : Les flyers, ou l’art de faire fuir ses clients

Pour faire connaître son activité, Nicolas décide de distribuer des flyers dans son quartier. Bonne idée ! Sauf qu’il les imprime lui-même sur une vieille imprimante à jet d’encre, avec des couleurs délavées et un texte écrit en Comic Sans. Résultat ? Ses flyers ressemblent à des avis de recherche pour des objets perdus. Certains voisins pensent même qu’il s’agit d’une arnaque et appellent la police.

Erreur n°2 : Le logo… ou plutôt l’absence de logo

Conscient qu’il lui faut une identité visuelle, Nicolas décide de créer son logo avec un générateur en ligne gratuit. Il choisit un dessin de chariot de supermarché rempli de produits flous. Problème : ce même logo est déjà utilisé par une marque de caddies en Roumanie. Quand des internautes le signalent, Nicolas tente de défendre son choix… en vain.

Erreur n°3 : Une campagne sur les réseaux sociaux... catastrophique

Nicolas se tourne vers TikTok pour toucher un public jeune. Il publie une vidéo où il danse maladroitement devant un lot de téléviseurs à vendre, avec une musique des années 90 en arrière-plan. Le résultat est tellement gênant qu’il devient viral, mais pas pour les bonnes raisons. Les internautes se moquent de lui, et le hashtag #NicolasReventeFail devient tendance.

Erreur n°4 : Un site web digne des années 2000

Pour vendre ses produits en ligne, Nicolas crée un site web... avec un outil gratuit des années 2000. Le site est rempli de gifs animés, d’une musique de fond insupportable et d’un formulaire de contact qui ne fonctionne pas. Les rares visiteurs quittent la page en moins de 10 secondes.

Ce qu’il aurait dû faire

  • Soigner ses supports visuels : investir dans des flyers professionnels ou utiliser des outils de design modernes comme Canva.
  • Un logo unique : faire appel à un graphiste ou choisir un design plus sobre et original.
  • Des vidéos professionnelles : opter pour un contenu authentique mais bien réalisé, sans tomber dans le ridicule.
  • Un site web moderne : utiliser des plateformes comme Shopify ou WordPress pour un rendu propre et fonctionnel.

Morale de l’histoire

Une communication réussie, c’est comme un bon produit : ça demande du soin, un peu de budget et beaucoup de bon sens. Si Nicolas avait pris le temps de réfléchir à sa stratégie, il aurait peut-être conquis le marché au lieu de finir dans les mèmes d’Internet. Moralité : on ne devient pas le roi de l’achat-revente sans une com’ digne de ce nom !

Article publié le 17/11/24

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