Un peu d'humour...

Quand Marcel laissait sa communication entre les mains du hasard

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Marcel, boucher à ses heures perdues et roi du saucisson, décide un jour de booster son commerce avec une grande campagne de communication… mais il fait tout à l’envers. Découvrez cette histoire hilarante où chaque erreur devient une leçon à ne jamais oublier pour les pros comme les amateurs de la com’ !

Marcel et le rêve de conquérir le monde

Marcel, boucher depuis 25 ans dans un petit village paisible, avait une ambition soudaine : devenir la star incontestée de la charcuterie. Inspiré par les pubs télévisées des grandes marques, il s’est dit : « Pourquoi pas moi ? ». Sans perdre une seconde, il se lance dans la grande aventure de la communication. Sauf qu’il a oublié une chose essentielle : la préparation.

Erreur n°1 : "Tout le monde est mon client"

Pour commencer, Marcel décide de cibler "tout le monde". Oui, tout le monde : les carnivores, les végétariens (logique…), les jeunes, les seniors, et même les touristes qui ne parlent pas un mot de français. Résultat ? Des affiches criardes et incompréhensibles où l’on peut lire en grand : « Viande ou pas, vous allez aimer ! » avec une photo d’un poulet tristement mal cadré.

Leçon : Identifier son audience est la base. Si Marcel avait pris le temps de comprendre son marché, il aurait ciblé les amateurs de viande locale et misé sur la qualité de ses produits. Mais non, il a préféré foncer dans le mur.

Erreur n°2 : Le logo fait maison… au sens littéral

Marcel a eu une idée brillante : créer son propre logo. Armé de Paint (oui, Paint), il dessine un cochon rose avec des ailes, symbolisant… il ne sait pas trop quoi en fait. Quand son fils de 7 ans lui demande pourquoi son logo ressemble à un "poulet mutant", Marcel répond : « L’important, c’est d’avoir un logo, non ? ».

Leçon : Un logo, c’est l’identité visuelle de votre marque. Investir dans un professionnel aurait permis à Marcel d’avoir un design qui reflète réellement son savoir-faire et attire les bons clients.

Erreur n°3 : L’invasion des réseaux sociaux

Marcel découvre les réseaux sociaux et décide de s’y mettre à fond. Mais au lieu de créer un compte pour sa boucherie, il poste ses photos de vacances à Ibiza, ses recettes de tripes ratées, et même une vidéo de son chien habillé en Père Noël. Sur Facebook, ses rares clients se demandent si la page n’a pas été piratée.

Leçon : Les réseaux sociaux sont un excellent outil… si on les utilise correctement. Marcel aurait pu partager des vidéos de ses produits, des conseils culinaires ou des offres spéciales pour créer une vraie communauté.

Erreur n°4 : Une campagne flyer catastrophe

Marcel imprime 1000 flyers en Comic Sans, avec un texte rouge sur fond vert fluo. Pour faire des économies, il oublie d’inclure son adresse et son numéro de téléphone. Résultat : 1000 flyers qui finissent en boulettes pour allumer les barbecues.

Leçon : Un flyer doit être clair, attrayant et inclure des informations essentielles. Par exemple : une belle image, une offre alléchante, et surtout, des coordonnées !

Erreur n°5 : L’événement de l’année… où personne ne vient

Pour couronner le tout, Marcel organise un grand événement pour promouvoir sa boucherie : « La journée du boudin ». Mais il s’y prend trois jours avant pour tout organiser. Aucun visuel, aucune communication en amont. Le jour J, seulement deux personnes viennent : sa mère et son voisin qui pensait qu’il y aurait du vin gratuit.

Leçon : La promotion d’un événement demande du temps et une vraie stratégie. Marcel aurait dû annoncer sa journée plusieurs semaines à l’avance, en utilisant des affiches, des réseaux sociaux, et un partenariat avec des commerçants locaux.

En conclusion : Marcel, ou comment tout faire à l’envers

À force de tout improviser, Marcel s’est retrouvé avec une communication désastreuse. Mais il a appris une chose : communiquer, ça ne s’invente pas ! Aujourd’hui, il fait appel à un professionnel pour revoir toute sa stratégie. Il a un beau logo, un compte Instagram où il poste des photos de ses viandes locales, et une clientèle fidèle qui raffole de ses boudins.

Morale de l’histoire : La communication, même avec un petit budget, demande de la réflexion et de la cohérence. Ne faites pas comme Marcel : préparez-vous, investissez dans les bonnes pratiques, et faites rayonner votre entreprise comme elle le mérite !

Article publié le 17/11/24

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